Cela fait un moment que tous les médias vous ennuient avec : la reconversion professionnelle par-ci, la reconversion professionnelle par-là, mais combien parmi eux, a prix le temps de vous orienter à l’issue exacte à envisager, en cas d’une reconversion professionnelle ?
Notre article d’aujourd’hui, vous propose justement, un thème qui, peu importe votre métier actuel, vous sera utile : envisager la reconversion professionnelle pour devenir psychologue.
L’idée vous plaît-elle ? Ça tombe bien, car le temps d’une lecture, nous allons, par le biais de notre article, vous apporter toutes les réponses nécessaires pour éclairer votre lanterne à ce sujet, mais également vous motiver.
La reconversion professionnelle d’accord, mais pourquoi devenir psychologue ?
Depuis quelques années déjà, le métier de psychologue, connaît une ascension spectaculaire, et ce, pour de multiples raisons, parmi lesquelles nous pouvons citer les suivantes :
- c’est un métier d’une extrême utilité dans la société d’aujourd’hui ;
- c’est l’un des rares métiers qui offre plusieurs possibilités de spécialités ;
- c’est tout de même un métier dont les intentions sont aussi nobles que celles en rapport avec la médecine.
Qui peut envisager une reconversion professionnelle pour devenir psychologue ?
Bien que la reconversion professionnelle, soit possible pour tout le monde, nous ne pouvons dire de même en ce qui concerne le métier de psychologue.
En effet, devenir psychologue nécessite certains traits de caractère dont tout le monde ne dispose pas forcément.
Parmi ces traits de caractère, nous pouvons citer :
- un esprit d’analyse assez évolué, ou du moins, l’aptitude à le développer avec de la pratique ;
- une objectivité totale, qui se traduit par la neutralité totale du psychologue, et ce, en toute circonstance ;
- l’aptitude à écouter les autres, car ce n’est pas donné à tout le monde de le faire ;
- enfin, cette motivation à aller de l’avant, mais surtout, celle d’aider les autres.
Ce qu’il faut savoir au sujet de la reconversion professionnelle pour devenir psychologue
La reconversion professionnelle dans la perspective de devenir psychologue, est un véritable parcours du combattant.
De ce fait, mieux vaut le faire pour de bonnes raisons, et pas simplement parce que c’est à la mode en ce moment ou parce que ça sonne bien.
Le retour à la case des études universitaires, une étape cruciale
Le premier détail à retenir, pour ceux qui envisagent une reconversion professionnelle, dans la perspective de devenir psychologue, c’est qu’une telle formation nécessite absolument la reprise des études supérieures.
En effet, détenir un diplôme en psychologie ne peut se faire que par le moyen d’études, à savoir :
- un master en psychologie ;
- un diplôme d’État de psychologue scolaire ;
- un diplôme de conseiller d’orientation ;
- être diplômé de l’École de psychologues praticiens ;
- ou encore un diplôme de psychologie du travail.
Les qualités qui font de vous une personne apte à devenir psychologue
En plus de détenir un diplôme d’une instance spécialisée, certains critères, voire, qualités, doivent absolument être réunis chez le candidat qui souhaite avoir recours à une reconversion professionnelle dans la perspective de devenir psychologue.
En plus des critères préalablement cités, il faut ajouter :
- une formation qui peut prendre quelques années est donc primordiale ;
- la discrétion est un élément très important ;
- enfin, la capacité à faire des formations de plus, si nécessaire.
La carrière de psychologue n’est pas pour tous
Suite à ce qui a déjà été dit, vous imaginez bien maintenant, que le métier de psychologue n’est pas fait pour tout le monde.
En effet, bien que nous encourageons tout le monde à envisager une reconversion professionnelle à n’importe quel âge, se précipiter vers une carrière de psychologue n‘est pas judicieux pour tout le monde.
À dire vrai, ce métier est même déconseillé pour certaines personnes, notamment :
- les personnes qui ne souhaitent pas trop s’impliquer avec d’autres personnes ;
- celles qui redoutent les études, et ne sont pas motivées pour en faire ;
- les personnes trop sensibles et qui se pensent incapables d’objectivité ;
- les personnes souffrant de certaines maladies, qui, selon elles, peuvent les empêcher de mener à bien leur mission.